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Craignethan Castle, Source de la Tweed
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Après le musée hier, comme il ne faisait vraiment pas beau, je n'ai pas pris le temps d'effectuer le petit sentier de la mine qui est situé à Wanlockhead. J'y rémédie donc le matin (il fait pas bien meilleur mais bon peu de chance que je revienne dans ce coin là).
C'est un petit sentier qui part du musée et qui longe un petit ruisseau.
Sur le chemin vous trouverez le "beam engine", puis quelques vieux chariots rouillés sur des anciennes rails, et ensuite divers bâtiments en ruine, et quelques anciennes entrées de mines.
C'est documenté, ça doit être plus joli par beau temps.
An early 19th-century wooden water-balance pump for draining a lead mine, with the track of a horse engine beside it.
Thi unique beam engine was constructed, probably in the early 19th century, to pump water from the workings of the Margret or Straightstep vein of lead ore that ran across the glen close. It is of simple design. On the right end of the beam was fixed a water-filled bucket which continuously descended, emptied, ascended and refilled. At the other end was a pivoted pump rod which raised water from the mine up the open shaft and into an adit close by. In front of the beam engine are the remains of a horse gin which hauled the lead ore from the mine to the surface.
The beam engine
Ville classée à l'Unesco, une sorte d'Utopia-Land qui a fermé ses portes en 1968.
La vue d'ensemble de la ville rend bien, de grand bâtiments, à peu près tous sur le même modèle qui longe la rivière dont dépend leur activité.
La ville a été construite pour et autour de l'activité du coton. C'est d'ailleurs globalement le seul intérêt que je lui ai trouvé en visitant les différents bâtiments ouverts à la visite (la plupart des bâtiments sont devenus des logements ou hôtels).
La visite commence par le "visitor centre" qui vous conduit aussitôt sur les traces d'une petite fille des années 1800. Très bien fait, mais super futuriste pour vous montrer le passé. Un petit côté décalé qui n'est pas forcément de mon goût d'ailleurs, je préfère marcher qu'emprunter un télé-cabine, mais bon ...
Après, on visite quelques restes de machines de l'ancienne activité de coton.
Dans les autres bâtiments, on trouve une reconstitution d'une ancienne classe d'école, une maaison type, et la maison de Robert Owen, celui qui mit en place ce concept. Pour ceux qui connaissent c'est un peu le même principe que le familistère de Guise dans l'Aisne.
New Lanark est un village situé au bord de la Clyde, à environ deux kilomètres du Royal Burgh de Lanark, dans le South Lanarkshire en Écosse. Il fut fondé en 1785 par David Dale (1739-1806), qui y fit construire des usines de coton et des résidences pour les ouvriers. Dale choisit cet endroit pour profiter de l'énergie hydraulique offerte par la rivière. Sous la direction de Dale puis de son gendre philanthrope et socialiste réformiste, Robert Owen (1771-1858), les usines prospérèrent et New Lanark devint un exemple de socialisme utopique.
Les usines de New Lanark continuèrent de fonctionner jusqu'en 1968. Après une période de déclin, le New Lanark Conservation Trust fut fondé en 1975 afin d'empêcher la démolition du village. Aujourd'hui, la plupart des bâtiments ont été restaurés et le village est devenu une attraction touristique importante. C'est également l'un des quatre sites d'Écosse reconnus comme patrimoine mondial par l'UNESCO.
Une contremarque Utilisant d'anciennes monnaies n'ayant plus cours, les pièces ocntremarquées étaient utilisées à l'intérieur du complexe pour les achats quotidiens. Il s'agissait d'un moyen de favoriser (s'assurer !) le commerce à l'intérieur de cette micro-société, une partie des gages étant effectivement reversée dans cette monnaie.
Promenade dans les bois le long de la Clyde. De New Lanark jusqu'à un barrage plus haut.
Promenade sympathique mais très aménagé. Puisque c'est complétement amanégé, s'ils pensent à ététer quelques arbres, ça n'en sera que mieux :-)
Comptez deux heures de marche aller/retour pour faire l'ensemble de la promenade.
The Falls of Clyde is the collective name of four linn (waterfalls) on the River Clyde near New Lanark. The Falls of Clyde comprise the upper falls of Bonnington Linn (fall of 30 feet), Corra Linn, Dundaff Linn, and the lower falls of Stonebyres Linn. Corra Linn is the highest, with a fall of 90 feet.
Il me fallait bien mon petit château en ruines pour la journée. Guichetière très sympathique qui m'a même prété le classeur en français du château. Documentation très complète.
Comme une journée sans pluie, ce n'est pas possible en Ecosse, la pluie était pour cette visite. çaa rendait le sol vraiment très glissant, j'ai failli finir les fesses au sol plus d'une fois !
Château bizaremment aménagé, je serais incapable d'en refaire les plans. D'ailleurs très difficile de bien faire le tour, il ne faut pas hésiter à vérifier tous les recoins.
Deux pièces fermées, l'une (le grand hall) pour cause de risque de chutes de pierre, l'autre (la grande cuisine) pour cause de restauration en cours.
Craignethan, dating back to around 1530, is an important early artillery fortification with an exceptional residential tower and fine setting.
The oldest part is the tower house built by Sir James Hamilton of Finnart. The castle’s defences include a caponier, a stone vaulted artillery chamber which is rare in Britain.
Une reconstitution du château vers 1530 |
La maison-tour
Un peu par hasard sur la route, le monument qui symbolise la source de la Tweed (c'est le nom d'une rivière célèbre en Ecosse).
La tweed prend donc sa source entre Moffat et tweedhuit.
Pas flagrant de voir le début de la source à cet endroit. Je suis montée sur la petite côte, on voit quelques filets d'eau se dégager. La source qui présente le plus de débit doit être plus en contre-bas, mais pas visible.
Quand on poursuit la route, on voit la tweed grossir au fur et à-mesure.
Monument de la source de la Tweed
Détaul du monument de la source de la Tweed
This moor is an open Hand,
In the field accross the road, among pools and trickles in the wet ground, Tweed starts its journey of nearly one hundred miles to the sea. It is one of Britain's cleanest rivers : insert larvae and salmon both depend on the purity of water. Tweed's salmon hatch in the river, but soon leave to spend up to three years at sea. The find their way back again to spawn. From here to Peebles, the river runs through a land of mysteries. Merlin of Caledon, said to be one of the last druids, came here around 580 AD at the end of his life. Perhaps he accepted the new religion, Christianity, and was baptised. Or perhaps he held the old beliefs, a wandering prophet for peopel who shared them. A thousand years later Tweed saw other religious struggles. The Covenanters rejected the Book of Common Prayer issued in 1635, but were persecuted for their independance. Government troops hunted them, so they held services on the open moors nearby with lookouts to keep watch. Further downstream, the broader valley and rolling hills make good sheep country. The great abbeys at Melrose and Kelso grew powerful from the wool trade and from farming. When industry came to the Borders, Tweed powered the early textile mills. Many of the great houses along the valley began as towers to defend their owners in troubled times. Neidpath Castle is still a fortress, but Traquair, Abbotsford, Floors Castle and Paxton House show how later owners laid out their grounds to enjoy the landscape carved by the river. Tweed forms the border between Scotand and England for only a few miles, but the river has long been a symbol of the boundary between twho uneasy neighbours. Many armies have crossed the Tweed, going both north and south. Torn between Scotland and England, the borders suffered in the struggles of ambitious and sometimes foolish kings. Incessant change and upheaval made the region an outlaws' stronghold in the 1500s and 1600s, and both Scots and English rulers left it alone. But through this commotion the Borders and their people developed their own proud identity, with Tweed at its heart.
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