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14 jours en Islande Avec quelques coeurs, mes appréciations. Je tiens à préciser que je n'ai pas publié ce que je n'ai pas aimé !
Un résumé très rapide de mon voyage en Islande, le détail viendra plus tard, mais je ne résiste pas au plaisir de poster tous les charmants lieux que j'ai visité. En résumé, j'ai adoré ce voyage. 4400 km en 15 jours.
Sur la quinzaine, les températures oscillaient entre 5°C le matin jusqu'à 16°C l'après-midi. Sans vent, le tee-shirt se portait bien, il ne s'agit pas du même type froid qu'en France. Avec le vent, le polaire et le coupe-vent sont indispensables, voire même à certaines occasions les gants et le bonnet. Sur la quinzaine, je n'ai à noter qu'une demi-journée de pluie, et dans sa grand sympathie, le Dieu de la Pluie, me l'a "octroyé" un après-midi où il ne me restait plus que de la route à faire pour changer de région.
Côté routes, c'est une autre problématique, disons qu'elles sont de temps en temps "délicates" ... Hors pistes (les routes Fxxx), vous avez le choix entre l'asphalte, le gravier ou la terre, théoriquement cité dans l'ordre de facilité. Personnellement, la terre était bien meilleure que le gravier, ou en tout cas j'avais moins la sensation d'abîmer la voiture.
Sur les routes à gravier ou terre, le problème réside dans la présence de nombreuses ornières, ou de sortes de petites "vagues" qui rendent la circulation abominable. J'ai souvenir d'une route pour Detifoss, où je n'ai pas pu passer au delà du 20 km/h sur près de 20 km. Horrible. Et aucune voiture ou 4x4 ne m'a doublé. Ah .., et j'ai jamais autant lavé ma voiture qu'en Islande, presque tous les jours (c'est gratuit). Il a beau ne pas pleuvoir, les sentiers de terre et de graviers génèrent énormément de poussière qui colle à la carrosserie, et au bout d'une demi-journée la plaque d'immatriculation arrière est déjà illisible.
Pour la navigation, aucun problème, la signalisation du pays est tout simplement parfaite (il y a peu de routes, ça doit aider). Vous ne pouvez d'ailleurs rater aucun lieu touristique à visiter, ils sont tous indiqués. Juste des panneaux en plein milieu de la chaussée sur certaines routes, ça surprend un peu !
Ce qui m'aura finalement surpris sur la route, c'est de pouvoir parcourir des centaines de kilomètres sans croiser âme qui vive, et quand un humain pointait le bout de son nez c'était un touriste, en général arrêté sur le bas-côté carte routière ou appareil photo en main ! Comme je l'ai entendu plus d'une fois sur la route : "it's amazing", réflexion assez générale des américains/canadiens qui sont en nombre sur les routes mpour décire les sites gandioses par lesquelles on passe. N'oublions pas non plus les allemands, bien en nombre également. En gros, dans la plupart des cas, vous trouverez les panneaux islandais traduits en anglais, puis assez souvent en allemand, et plus rarement en français (mais ça se trouve quand même). C'était la fin de saison pour les islandais, donc il était possible de profiter de tout "tout seul" (ie aucune bousculade nulle part, j'ai même logé une nuit toute seule dans un hôtel, il restait juste le réceptionniste !).
Pour le voyage, et certains textes cités dans les pages : Carte routière Island Vegaatlas au 1:200 000. ISBN : 978-9979-67-209-8. Cate parfaitement détaillée pour tous les trajets dans l'île. Entre autres, les endroits à voir et les stations essence y sont indiqués. Guides Gallimard Islande. ISBN : 978-2-74-243140-3. Islande, 153 sites naturels à découvrir, Marc Broussaud. ISBN : 978-2-7131-0242-4 Carte IGN Islande 1:750 000. Idéal pour se tracer son macro-itinéraire
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